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  • Bientôt: "Planet of Apes" - la série tv: Pourquoi ce culte ?

    Ici les singes sont méchants, déloyaux, vicieux, nombreux, non-conformes, mauvais joueurs, ils font leur propagande (un peu comme aujourd'hui twitter & co son lobbying), jaloux, parfois raffinés, menteurs, voleurs, lâches, et traquent l'humain dans ses moindres atours...

     

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                                                                    [To Be Continued]

    monde planète des singes

     

  • Comment la propagande s'y prend-elle [afin d'agir et de réagir]... (2)

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    (Avant tout un simple click! sur la photo et apparaît un excellent sujet pour un site non moins précis et rigoureux: Le cinéma américain : un impérialisme culturel ? D'ailleurs le titre en est presque comique.) (cette image est de la série TV The Hour, un programme diffusé sur la BBC2 et de 2011.)


             D'abord comme chacun sait le premier but de la propagande c'est de nous montrer qu'elle est sympa, en même temps que le fait est qu'elle n'existe pas. (C'était sous Staline avec l'URSS, ou sous Mao, la police de la pensée ça concernait la Stasi tout ça c'est rien que des mensonges abominables, c'est mesquin et minable, vous êtes fous, etc.) Bien sûr. Mais pas que; en fait. Car bien évidemment, premièrement personne, au fond, n'apprécie les trucs sympas, on leur donne des vents la plupart du temps quand on les accuse pas d'autre chose: bref on s'en fout ou alors on contemple le martyr un peu comme à Rome au cirque... Premier exemple: Moi, votre serviteur, a été lâchement harcelé et menacé sur SC (sens critique) , un site à vocation "culturel", et notamment par un certain Guitsby; simplement pareceque je répondais à des insultes ainsi qu'à leur propagande en rotation lourde. Croyez-vous réellement que quiconque m'ait défendu, ou que je suis le seul ?? Qui est ce type en réalité, comment se permet-il un instant ce fait et ces comportements (et surtout en restant en restant planqué à l'abri...) ?

    Donc vous comprendrez à la base que c'est peu vendeur sauf dans de rares cas. Donc vous saisirez aussi que pour une série le procédé est assez normal: il faut que ça soit populaire, que ça plaise à un maximum de monde, mais il lui faut aussi LE TRUC EN PLUS qui ne fera pas de vous un plouc en la regardant devant votre télévision 16/9, au contraire il faut que vous puissiez vous sentir bien plus intelligent que le voisin et en même temps encore davantage (de toute façon c'est un con.) Les bas du front c'est forcément, sinon souvent les mêmes, les autres et pas nous. Et c'est encore mieux s'ils ne sont pas trop friqués ou relativement isolés, comme dans Lost. Pareillement si on peut faire passer comme branché et hype ce qui est totalement désuet ou obsolète on peut aussi faire de même pour de simples beaufs U.S. somme toute immondes pour de fins stratèges, ou autres humains au coeur d'or comme dans Glee, ou même Un gars, Une fille sans omettre les Bundy et surtout les Flinstones. Et de toute façon même Lady Gaga l'a compris puisqu'on l'a surprise l'année dernière à son anniversaire avec un costume en viandes (raw meat) comme tombé du ciel. Quoi de mieux comme retour carnassier aux choses simples ? Mais pour revenir à la première question, ne nous éparpillons pas trop car la réponse est en fait aisée:

    - En effet il faut tout simplement de bons ingrédients, à part la bombe sous la table et le BOOM fatal et imminent; il faut également en toute circonstance bien déterminer le fait que l'argent ne fait pas tout le bonheur, un alibi, par exemple un but fumeux et humaniste, des qualités humaines qui feront discuter des RTT à la caféteria, et je vous laisse trouver le reste sans problèmes. De toute façon c'est facile à l'heure du village global il y en a assez peu qui décident: et puis comme vous ne l'ignorez sans doute pas même du fond de votre caverne ce sont les mêmes maisons et studios de production (20th Century Fox -  HBO - CBS - UA - Paramount - Sony - Columbia - Tristar - Universal - Warner - MGM - New Line - Dreamwork Inc. - Studio Canal - Arte)  sinon des agglomérats empruntant d'autres noms qui fabriquent et distribuent les films et séries du moment qui comptent. Plus besoin de décrocher son téléphone rouge comme autrefois Howard Hugues, dans le but de monter une chaîne satellite dans le désert ou dans les pays de l'Est. Juste, les européens se font en général un peu plus aider par des subventions afin de monter leurs oeuvres indépendantes et de rentrer dans le rang mondial. Pareillement il est nécessaire de placer de bons personnages de méchants, afin que vous puissiez vous y identifier aussi  les jours de pluie ainsi que d'ailleurs ce grand-oncle qui n'a fait que légèrement trafiquer sa déclaration de revenus et-qui-est-un-gars-bien après tout: On peut dire que c'était le rôle magistral de JR dans Dallas, ou de l'héroine glam/chic de Sex & The City jouée par SJP.

     

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    Un exemple: dans Logan's Run (1979) les runners et les résidents de la Cité de Cristal doivent acheter des jetons pour jouer, discuter entre eux, ou s'acheter une vie virtuelle...mais aussi pour vivre et allonger leur vie ! Et qui s'en plaint tant que ça ?

       Dés lors, même prenant part dans un lobby international ou représentatifs de la population, si le fait est que les aliens décident de s'installer la plupart du temps non loin de Long Beach, L.A. et que Manhattan, NYC sera le lieu ou débutera demain la fin du monde, ces films et séries sont tous américains par nature. Donc crédibles... La vie de bureau n'a pas besoin de grands scénarios ou d'idées originales en diable, il suffit de coller à la réalité et d'ajouter un peu de faits décalés c'est quand même pas si compliqué. Et puis de toute façon les privilèges se payent toujours un jour.

     

     

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    Sauf que justement, désormais on remarquera que l'ensemble du casting des plus grandes séries actuelles se ressemblent tous (presque tous issus de la même portée) en vivant dans des coins sympas ou il y a toujours un Diner ouvert le soir et une serveuse ou un barman à qui confier ses secrets les plus intimes, tandis que les characters sont tous, peu ou prou, aussi gentils les uns que les autres. Ce qui est sûr c'est que le Dr Ross peut boire tranquille et discuter avec passion et justesse de ses patients - à condition qu'on le hèle!

        Prenez Mad Men par exemple: au demeurant les intrigues ne sont pas si éloignées de ces séries comiques un peu lourdingues qu'on aimait autrefois regarder sans rechigner, les situations de la vie de tous les jours ne sont pas si différentes, il y a des fêtes à barbecue entre voisins le samedi, des collègues qui montent en grade à votre place sans le mériter, des ruptures de rêves, des skates dignes du nom à acheter de toute urgence à l'aîné, etc., et avec un peu d'imagination on pourrait presque insérer des laughinstock à la résolution de chaque séquence tout comme finalement n'importe quel comédie américaine au gros rire gars qui tâche par exemple des frères Farrelly, ou de Jude Apatow pour les plus exigeants ou vicieux d'esprit: S'il n'existe guère de films encore plus beauf ou populaire pour les lettrés, le blockbuster American Pie* a de toute façon remporté plein de prix (notamment le prestigieux Golden Globe ™.)

     

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    Et de la même manière comme chacun sait, il existe aussi de ces choses peu populaires ainsi que niées, qui énervent pas mal de gens alors qu'on y vient tous ou presque un jour. De la même façon auparavant on savait bien que David Vincent les avait vus, lui, et qu'il n'était pas totalement cinglé alors que de nos jours Les Envahisseurs passerait sûrement pour le manifeste d'une secte étrange ou attirante pour certains.


    Voilà le hic, à force d'égaliser et de vouloir des héros tous gentils ou suprêmement intelligents un peu comme le protagoniste malade de Breaking Bad, on perd la notion de réalisme. En effet, si tout le monde, au fond, est un peu pareil ou aussi infidèle que Don Draper à la moindre opportunité, le contraste devient difficile et on peut finir par ne plus savoir quel est le sens véritable de la série !?


             Prenez Walking Dead par exemple: ici les humains ont tous d'énormes qualités à part quelques rares moutons noirs et l'on observe l'exact contraire de ce qui se faisait dans les 80-90's. Si ce n'est pas la même chose au final. D'ailleurs dans Mad Men même l'arriviste et la secrétaire du patron finissent par rentrer rapidement dans le rang. Car les faits sont clairs: on pouvait, il y a quelque temps, prétendre que les héros se trompaient sans doute quelque part sur la résolution de l'équation ou que les membres du S.H.I.E.L.D n'étaient pas si vénéneux que ça. Aujourd'hui tout le monde s'en fout et sait qu'il s'agit de pauvres malades mentaux aux buts dérisoires, le fait est qu'ils se trompent complètement (d'abord le Graal n'a pas disparu ni n'a été volé par des nazis, il est exposé en une galerie select à L.A. j'en suis sûr) puisque de toute façon tous les protagonistes qui se respectent roulent en SUV et puis vivent en tribu, ce sont de riches bobos qui sont sur Terre pour faire le bien et ne pas polluer même en gros Hummer dans un bois et le souci principal est de savoir qui inviter aux fêtes ou le choix du cadeau du prochain noel à offrir. Et qui ira vérifier que dans les milieux sociaux dits de qualité, les gens sont eux aussi riches et beaux et jeunes et sympas comme dans les séries  ?

     

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    Il n'est même plus nécessaire de voir de courageux agents du FBI dévoués à trouver ou peut bien se trouver la tête de la chienne extraterrestre et vampire arrivée avant-hier soir près du bâtiment du deuxième bureau, et bien souvent comme par magie la cupidité ou la nymphomanie aveugle sont recommandés comme dans Les vies rêvées d'Erika Strange, ou bien le triolisme dans True Blood, ou encore la drogue dans Breaking Bad et Weed, l'arrivisme dans Suits et Happy Endings,ou alors l'illusion amoureuse dans New Girl et le masochisme médical dans Doctor Who... Voilà on a globalement fait le tour de la question. Le simple fait imaginaire ou non à mémoriser est de savoir que tant qu'ils n'utilisent pas un jargon recherché, les protagonistes se trompent de toute façon, il n'y a surtout pas à clamer telle ou telle vérité - la vérité est tellement limpide -; il suffit d'insister sur les détails puis d'énoncer la pure solution et on verra bien un jour à quel point ces gens se trompent. Enfin n'importe comment les shows actuels story-driven sont toujours préfèrables parceque même si c'est un illusion il est bien souvent préférable de montrer que c'est nous qui décidont à la base même si c'est un peu une illusion. Pourquoi le contraire, ça va pas non ? Aussi on peut également retourner dans le temps, c'était mieux avant, et c'est plus pratique pour raconter des histoires. Il est même vain de chercher à parcourir le cosmos dans un vil but colonisateur plus ou moins avoué et qui contient toutes les races comme dans Star Trek, puisque encore une fois tout roule.

    Observez ce qui se passe dans Suits: un gars sympa ment parcequ'il ne possède pas de diplôme et il n'empêche que tout se passe bien, en dépit de tout, dans son bureau globalement. Oui, mais on peut se demander dans la réalité, qu'arriverait-il réellement dans un emploi et surtout chez nous ?

     

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    Le premier concept de la propagande est donc par définition qu'elle n'a pas à se justifier, la discrimination, le lobbying, les privilèges, le parasitage des radios rebelles, etc. tout cela n'existant simplement pas en un régime parfait (ou presque) surtout pour les DDR ou le KGB et il est de plus évident que les actions ou les buts des "héros" qui les font se démener sont au mieux inutiles par essence sinon totalement absurdes et qu'il n'y a qu'à insinuer, tirer un peu sur le voile, et que tout n'est également que trop bon pour les déprimer ou alors les briser psychologiquement  >> Et qu'est-ce qu'on y peut de toute façon à part leur indiquer, quand il le faut, la voie à suivre de la World Company ? 

    Et comment les bons pourraient-ils avoir raison de toute façon ?? Accessoirement, les meilleurs conseils se disent avec un sourire quand on est malin.

    Et puis tout le monde sait que l'endoctrinement et les instances commencent à agir une fois qu'il est trop tard quoiqu'ils disent. Vraiment, ces séries sont toutes géniales. No Cry-Ending.


    (O6/09/2012. Auteur: Dr Zaius)

     

     

    [Des extraits qui parlent...]

     


    - "J'en sais rien... peut être que toutes les générations pensent que la prochaine va tout foutre en l'air ? Je parie qu'il y a des gens dans la bible qui se plaignent que les jeunes ne sont plus ce qu'ils étaient !
    - Peut-être que les jeunes d'aujourd'hui n'ont plus de modèles, parce que c'est nous leur modèle...
    "

    Mad Men Saison 1 Episode 04


    - "Le lendemain j'ai pris la route. J'ai laissé Randy car il est malade en voiture sur les longs trajets, et l'antinauséeux lui donne faim. C'était un cercle vicieux qu'on voulait tous les deux éviter..."


    My name is Earl Saison 4 Episode 18


    - "Wake up Logan, you are here. I couldn't believe it when they
     told me Logan 6. It's not every day they authorize a new Sandman.
    I'll tell you, Francis, that's him.



    Logan's Run



    - "Ou suis-je ?
    Au Village.

    - Que voulez-vous ?
    Des informations.

    - De quel côté êtes-vous ?

    Ce serait révéler. Nous voulons des informations.
    Des informations. Des informations.


    - Vous n'en aurez pas.

    De gré ou de force, nous les obtiendrons.

    - Qui êtes-vous ?

    Le nouveau numéro 2.

    - Qui est le numéro 1 ?

    Vous êtes le numéro 6.

    - Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre !"


    Le Prisonnier

     

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    *NDA c'est vrai aussi que j'ai trouvé cela relativement hilarant comme trilogie, mais encore une fois, tout le monde ne possède pas mes goûts et couleurs divers.

  • Distain - On/off (Echozone)

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    Quand la coolitude de la dark-wave est "unplugged"...

     

     

    La palme du pire du RE-pire de la synth-pop. Non seulement, chez Distain! (qui officie quand même depuis 1992 avec entre autre les LP's Cement Garden - Liquid - Homesick Alien - 25 Frame A Second - Raise The Level - Anthology 1992-2010 ) il faut noter que le sampling et les programmations sont parfaites, nettes, et sans "erreurs" et dépourvues de toute innovation ou montée infime de rythme,  mais de plus le chanteur possède étrangement une terrible voix atone, totalement inexpressive, et sans la moindre texture. Et aussi il a une coupe dans le vent à la Wham.  Je ne sais pas quoi, n'ayez pas trop la haine tant que ça svp mais c'est quand même dramatique à la base.

    Dans On/Off, leur quatrième opus donc; que j'ai écouté en allant à la plage de l'île d'E. mais aussi de bon matin en partant au travail puis en insérant le disque, comme c'est l'usage dans certaines sectes lointaines, dans mon autoradio dont le mécanisme ronronnait agréablement (sitôt après avoir lu les multiples critiques fabulous, élogieuses, et germaniques du ghetto goth et surtout pour finir uniformes. Et aussi j'ai du mal avec les redifs interminables à la radio de Moby, de Rem, de Prodigy, de Underworld, de Justice, des White Stripes, des Eagles, de Ray Charles, etc.)

    Trêves de plaisanteries donc car à part le single-hit Why(Bootlicking Hypocrites) vaguement à la Jackson (de la fin et sans les rois de la Motown derrière) qui remonte un peu le niveau et au clip à l'intérieur duquel, habillés en cadre moyen bobof, ils maltraitent dans un parking un pauvre type aux cheveux longs et au costard-cravate qui n'a pas dû leur faire grand chose -si déja ils les connaît ou sait qui c'est - et le reste du LP est parasité de chansons mièvres et sentimentales sinon inexistantes qui évoqueront la new wave de Top of the Pops, parfois nappés d'instrus à la Walt Disney. En fait on dirait presque que ce groupe fait exprès d'enregistrer des morceaux nuls et de les graver ensuite sur des galettes. Mais en fait la vraie question c'est en réalité pourquoi ont-ils fondés Distain! à la base ?

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    Pour parler des titres de la playlist en vrac mais avec sérieux, Monokultur n'évite rien, ne passe à coté de rien. Même pas saturé et en plus monotone.

    Mein Weg: Ja, so was ? (et garde ton staub remix)

    The 6th floor: plus que bâclée. On dirait presque du Marc Almond mais pas terminé puis achevé un jour d'orage sous Autotune®.

    Together: lent et romantique. A l'air vrai aussi. (Un conseil: si vous êtes dépressif et que vous en avez marre de la vie parceque 1/ vos amis sont tous des c*** quand on gratte le vernis 2/ personne ne souhaite écouter vos albums, collectors, et singles personnels de Distain!, écoutez plutôt du Bach ou le 7ème adaggio de Haendel pour vous finir au moins il y a un je ne sais quoi entre le sillon. Ou alors les Beach Boys.)

    Values of Trust: Fondamental mais consensuel.

    My God: Ohlala and my tailor is rich.

    Second Coming: On dirait un peu un Main Title à la Blade Runner. Cela dit si le vulgaire va par deux; comme chacun sait les couples qui tiennent, même constitués d'androides perfectionnés ou d'elektrostaub, sont ceux qui ne se voient le moins possible.

     

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    Conséquemment s'il n'y a pas trop de sable dans le lecteur (à cause des nombreux surfs que j'entasse à arrière de mon van Volkswagen et décoré de fleurs roses et vertes sur fond Peace & Love parceque il s'agit d'un de mes choix pour me déplacer) j'arrive donc à écouter la onzième piste Mediaeval Presence, plutôt bien vu et incisif selon moi, mais l'autre affreux et indigne single principal et pseudo-torturé qui fleure bon le gothic ainsi que les résilles pas chères: "What do you want from me ?" n'est même pas digne de Lady Gaga (quelqu'un a dit qu'on dirait de loin la voix de la chanteuse de No Doubt, ça n'est pas faux et c'est également presque comique), on  dirait une mauvaise face B d'un imitateur de Prince en live au stadium de San Francisco en 1985. Pour tout dire il y a même des soupirs dans les effets... Enfin j'espère tout de même que dans le clip à venir ils n'oublieront pas les redingotes multicolores, les claviers-guitares, et les coupes mulets. Voilà, l'electronica teutonne c'est soit médiocre, ou plutôt réussi, soit c'est enfin bon et commercial ou quand même très connoté à la base ainsi qu'un peu démodé. Pas vintage: dé-mo-dé et ringard. A vous de voir si vous achetez ou non moi je crois que je vais faire autre chose. Et je sais que c'est vrai.

     

                                                         4 etoiles