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La vie de Charette/"Monsieur de Charette, chevalier du Roi" - Michel de St Pierre

 

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Résumé : Il y a près de deux siècles, au nom de sa foi et de son roi, Charette a inventé la guerre subversive moderne, illustrée à notre époque, au nom d'idéologies opposées, par Mao, Giap ou Dayan - la guerre de paysans-soldats rassemblés en une armée de partisans aussi vite levée que dissoute, égaillée et réintégrée à la terre des ancêtres et qui regagne ses métairies le soir après le fracas des armes.
A travers l'épopée et les récits de batailles, Michel de Saint Pierre nous révèle une face mal connue du héros : le panache et la passion mêlés dans ce sabreur entouré d'une véritable cour d'amour, ce chef de guerre qui' n'allait jamais au combat sans être accompagné d'une " cavalcade d'amazones " et qui portait en se battant les foulards et les écharpes que des mains aimables avaient pour lui brodés de fleurs de lys. 
                                                                                                                                                      Diabolisé, stigmatisé par les affreux bleus révolutionnaires qui brûlaient tout sur leur passage ainsi que, de toute façon, ces Colonnes Infernales, voici l'histoire exemplaire du dernier chevalier de France assassiné à Nantes le 23 mars 1796 par un peloton d'exécution et ce sans bandeau (conformément à sa volonté.) Inutile par ailleurs de résumer une histoire de guérilla ou guerre totale que d'aucuns connaissent sûrement, et que nous n'allons sûrement pas informer pour leur part... Il faut cependant savoir que le fameux bandit au haut-de-forme fût entre autre accusé à son procès, en particulier et à son nom propre, du meurtre de 600 (et des poussières) officiers français, qu'il soupçonnait simplement de Haute-Trahison. On voulait tout prendre aux vendéens, et à celui que ses ennemis surnommaient aussi le Grand Brigand, puis ensuite attaquer leur religion et culte sous prétexte de "démocratie" et d'"ordre": voilà pourquoi ils ont donc combattu la République jusqu'au paroxysme, et aussi jusqu'à la dernière goutte de sang. Il est clair, par conséquent, que ce récit plutôt complet concerne donc la liberté dans sa globalité sinon bien toutes ces luttes actuelles.

« Combattu souvent, battu parfois, abattu jamais. »

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