Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ca

  • Eloquent - Carousel of Life

    coverE.jpg

    "How can you look at me at the face ??"


    "Come back to me. Come home >> you're perfect." Ne le nions pas: C'est ce que dit en général in fine la synth-pop quand elle est médiocre ou somme toute peu innovante, un peu monotone du sillon, bref coté indus. Donc le fait est que si c'est ce que, malgré tout, ce que perso vous ne pensez en rien pour votre part, on tourne en rond à un moment sur les pistes du disque, car vous ne pouvez pas tellement y adhérer à 1O1% ou "tripper" même si le niveau son est plutôt bon (et pas produit par Scorpio Music ou uniquement à l'aide de vils expanders nombreux et sophistiqués ou par AutoTune®, un peu dans le style de Bieber.) Donc reconnaissons que le tout est un peu léger à part le cirque et les single-tracks 2. "Carte Blanche" et 3. "Colourful Rumour."

    Si vous voulez, nous dirons la lave sous la banquise troussée comme l'astre du soir par-dessous les nappes synthétiques et les faux-semblants (toutefois en mieux reconstruit depuis l'amélioration de la science robotique et aussi des home-studios de base)le tout au clair de lune. Par exemple. En prime avec Eloquent il est vrai qu'on a parfois des intonations à la Kraftwerk mais confessons dans cette célébration qui, il faut bien le reconnaître, ne suit au maximum que l'AfterTouch de la console, que surtout l'aspect festif ressort en définitive entre les notes ce qui est dommage pour ceux qui espèrent un peu plus que l'expérimental arty et très travaillé à la Sonic Youth ou de la dance seulement dansable (ou plein de nymphos dansent comme des folles dans les boîtes ainsi que sur le dancefloor mais après avoir poireauté 3 H devant l'entrée avant de s'être mariées un samedi pluvieux avec le physio.) Soit, le diable est dans les détails, c'est pour ça que plusieurs petits malins ou petits bidouilleurs minables tentent désespérement de réussir mais rassurez-vous, ce n'est pas pour ça qu'ils sont plus futés que vous ou qu'ils ont du génie. Donc, pour terminer soyons honnêtes: Même un groupe néo-romantique de l'époque des 80's aux membres péroxydés et aux cravates-cuir ponctuelles et bien repassées ferait plus abouti au concept - de toute façon il y a byzarrement présent dans cet album une reprise d'un titre de la classique et lisse (et peu renouvelée) techno-pop des britanniques PSB (C'est le LP Bilingual.) Et sans doute il y aurait beaucoup à clamer sur ce dossier en particulier mais là j'ai pas le temps. Vous non plus d'ailleurs si mes calculs sont bons, et comme moi je suis sûr que vous vous foutez un peu à la base de ces échos et clameurs non-repertoriées de la toile.

    N.B: Comme il s'agit d'une véritable critique objective (et non d'un simple dossier de presse promotionnel marketing-pub/ou ou d'un site au sens faussement critique à tolérance de taliban travaillant à temps complet pour l'ex-deuxième bureau ou d'une soirée privée à pin's/un spectacle humain plus ou moins cool de gunfight dans un cinéma. Et non, je ne parlerais pas de tous ces faux profils smarts marrants ainsi qu'hilarants uniquements faits pour vous vendre des réductions sur des produits fashion) consacrée à Carousel of Life ainsi qu'à ce groupe, comme c'est souvent le cas surtout sur le web; comprenez bien que le fait est que, par conséquent, d'aucuns pourraient ne pas être d'accord sans réellement désirer se poser les bonnes questions. Mais diantre que cela ne nous empêche pas d'écouter de la bonne musique. (Carousel of Life: Les extraits de Reverbnation sont ici. )

    Cochez:

    Yes                                                                   No