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Un des pires films qu'il m'a été donné de voir, totalement noyé sous son eau de rose pseudo-intello et ses captures d'écrans Windows.
Immonde. Prétentieux, débile, et vain.
Les acteurs sont ridicules et la narration éclatée de Malick ne tient pas debout un seul instant. Ecrire quatre lignes pour ce répugnant objet c'est déjà trop.
Je mets 1 étoile pour l'illusion et pour ses fanatiques
Tenez-vous à l'écart de ce monument de fadeur narcissique si vous tenez un peu à la vie.
Difficile de dire un mot après un tel morceau d'anthologie, d'ailleurs tout à fait digne du précédent de 1982. On renoue très rapidement avec son univers cataclysmique et son chasseur et le décor mégalomaniaque se plante très vite.
En fait, Blade Runner 2049 renouvelle son propre genre et réalise là une prouesse que l'on aperçoit très rarement de nos jours, et même dans le cinéma dit "indépendant". Signalons juste son atmosphère futuriste tout à fait crédible.
Bref, enfin un film élitiste non-réservé au négativisme inculte du gogol moyen qui va gaiement en écoutant uniquement ce qu'il veut entendre. Le mieux c'est de le voir et donc je me tais humblement !
A mon avis, ce long-métrage ne supporte guère la tiédeur et son nouveau récit très sensé va chercher loin ses influences - autant d'ailleurs dans le travail de Philip K. Dick que dans d'autres arts beaucoup moins populaires.
J'ai mis 8/10 parce que j'ai visionné ce film dans la salle [1] du Pathé Evreux et qu'il y avait là pendant tout la durée du métrage un violent courant d'air glacial comme pour en rajouter au réalisme. Ou alors peut-être était-ce mon implant mémoriel, mais cela était juste un peu trop borderline côté conspiration.
Autour du film
Hallucinant Jared Leto en gourou mystique...
La Grande Galerie.
La fameuse Peugeot volante (par temps clair.)
Une des nombreuses architectures d'intérieur influencées par le futur de Blade Runner...
Encore une pub !
L'agent K. dans sa voiture avec sa superbe fiancée mi-réelle... mi-illusion. Attention à la marche arrière !
L'atout premier de « SIDE EFFECTS » tient à la personnalité de son interprète principale, Rooney Mara. A côté, le reste du casting a l'air constitué de petits malins et/ou de gros lourdauds, Jude Law y compris.
L'actrice fait tout ce qu'il faut pour aller jusqu'au cœur de son rôle de manipulatrice lesbienne dans ce thriller à propos de lobbys et d'âmes surchargées, et l'on reste suspendu à ses lèvres pendant les 104 minutes de ce whodunit essentiel.
SIDE EFFECTS est aussi un film qui dit certaines choses ça et là tout en suggèrant de quelle manière la réalité peut parfois s'effilocher, sans que l'on y prenne trop garde. Autant d'ailleurs pour le matérialisme qui prend ici une bonne claque ; dommage pour tous ces blockbusters de débiles légers.
J'ai moins succombé à l'aspect normaliste et complaisant (surtout à la fin) de SIDE EFFECTS, où Soderbergh présente le couple du docteur Jonathan Banks et de sa femme Deirdre comme une sorte de modèle. Un peu curieux quand on connaît le type...
Cela n'arrange pas la photo il est vrai un peu trop léchée de l'ensemble. Plus de charnel aurait peut-être été bienvenue au lieu de ce discours de pasteur luthérien !
Mais SIDE EFFECTS demeure en soi une réussite ainsi qu'une nouveauté aboutie, évitant les traditionnels atermoiements lourdingues du film médical.