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Cinema - Page 7

  • The Amazing Spiderman: le destin d'un héros/ma critique

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    En plus d'être un bon petit élève de la nation, Peter Parker est laid et malingre, et aussi sort des blagues qui donne constamment envie de le taper. Vous savez, ce genre de parvenus "bling-bling" qui vous embêtait au collège ? C'est le même genre, le même ordre, et seuls les méchants parviennent à lui arriver à la hauteur quelque peu et comme par hasard le black Electro (oui il est noir mais méchant, il y a pas de raisons.) Bon, on ne va pas en faire une horloge suisse mais inutile de déclamer dans une heure que ce film est un sacrilège vis à vis de Spidey et de ceux qui ont lu un jour dans leur vie un comic. Beurk. Pardon Marvel.

    Bref, j'ai pas aimé du tout, et à coté même Tobey Maguire donne l'impression d'être très regretté. Désormais on pleurera même les vendeurs de jouets, c'est indigne de sortir une telle daube sans âme et de faire jouer un super-héros légendaire à un homme-sandwich... Voilà j'ai fini, FERMETURE DU MAGASIN.
    *pour ceux qui s'entêteraient à quand même dépenser plus de 12 euros au cinema, limitez-vous donc à la bande-annonce tout est dit déja dedans ou alors procurez-vous le cartoon à l'air mythique. Nanaannaanaaaaa - nananaaaa - nanannaaaaaaaa !!

    Ma note:  1/10

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     Thank you Starbucks, Sony, Van Dutch, etc...

     Besides being a good small pupil of the nation, Peter Parker is ugly and sick, and also spell of the jokes which makes you constantly feel to smash him. You know, this kind of "bling-bling" upstart which annoyed you to the middle school ? It is the same kind, the same order, and only the miserable succeed in arriving at him at the height a little, and as if by chance a black man, the Electro. Well, we are not going to make a clock Swiss but useless to declaim within one hour that this movie is a sacrilege face to face of Spidey and for those ones who read one day in their life a comic. Yuk. Forgive-me Marvel.

    In brief, I didn't liked it of the whole, and besides even Tobey Maguire gives the impression of being very regretted. From now on we shall cry even the sellers of toys, it is unworthy to release out such a crap without soul and to make a legendary super-hero play to a sandwich man... Here is I finished, CLOSURE OF the STORE.

    *for those ones who still would persist in spending all the same more than 12 $ in the cinema, thus limit yourselves to the trailer: everything is already said inside, or then get yourselves the cartoon in the mythical musical air. Nanaannaanaaaaa - Nananaaaa - nanannaaaaaaaa!!

     

    This movie is pure shit.

     

                 
                             

  • Dr. Jekyll et Mr. Hyde/ma critique

     

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    Pour commencer prenons un des sujets de ce classique: la laideur. Qu'y a-t-il désormais de plus puissant, et de plus contemporain qu'une femme laide ? Sans même parler des hôtesses de l'air de la défunte Pan Am (autrefois belles et magnifiques), remarquons par exemple combien sont disgracieuses les "models" utilisés chez Chanel (d'autre part souvent âgées de 15-16 ans, et de plus en plus) tout cela parceque une vraie et honnête poitrine de femme gênerait l'ego de Mémère... C'est affreux, on confond aujourd'hui perfection et beauté ! Et même n'importe quelle beauté du diable de nationalité tchèque s'achète chez Meetic. Car pour la laide toute beauté est forcément vice. Ne mentionnons même pas cette pauvre boulangère, forcée depuis de masquer ses attributs et de ressembler à la sorcière au nez crochu de Blanche-Neige pour vendre son bon pain ! Faut-il aussi vraiment admettre l'intelligence de ces grands dadais, à qui point trop n'en faut ? La femme laide est, de plus, forcément intelligente surtout si elle porte des lunettes Prada (pourtant la myopie est un véritable handicap dans la vie tout le monde vous le dira...) elle fera payer chacun de ses apparitions et même au troquet du coin je ne compte plus les exemples à la TV; au contraire la belle sera considérée comme une immonde salope si elle ose imite sa consoeur 2 maigres journées. Enfin au pire il suffit à la femme laide de beugler avec le troupeau - un moment plus fort que les autres - pour imposer sa loi et son diktat. Au contraire, elle ne verra donc pas d'utilité formelle à l'argent du milliardaire russe graveleux, qui ne peut actuellement que refuser du monde. Et oui, la femme laide devient la belle, parceque de toute façon le marché de la jalousie paye et pas qu'un peu.


     

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             Raison de plus pour confesser que l'étrange cas de ce bon Dr Jekyll n'est en rien une rareté - à la limite Mr Hyde est d'ailleurs presque le sujet unique du film: Alors que Mr Hyde ne doit son existence qu'à une potion, Jekyll n'a lui besoin de personne pour être consensuel, respecter les conventions de son époque afin d'être invité dans les salons, puis finir lisse et désabusé, tout cela avant la nuit. Mis à part les grincheux qui ne découvriront à aucun moment dans cette oeuvre les termes de leur jargon magique, avouons que la dichotomie reconnu au fil de ces pages est plus que mythique sinon inquiétante. Je suis sûr que certains lecteurs auront peur la nuit en marchant, rien qu'à la vue de l'ombre de Hyde ainsi qu'au son de ses pas...

                                         

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  • Jobs/ ma critique

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    "Je n'ai rien perdu. On m'a volé..."

     

    Le biopic du Dark Vador de l'informatique: le film est presque entièrement consacré au héros de la Silicon Valley, et même s'il est dépourvu de climax, il nous est bien démontré cette multitude d'ennemis stupides qu'a eu à lutter le vrai chef d'Apple (et aussi en quelque sorte l'inventeur du PC avec lequel on rédige aujourd'hui ces textes et critiques...) Bien sûr ce qui affadit le déroulement des événements c'est que celui-ci est davantage montré ainsi qu'un patron colérique et aux dents longues, et moins sous son aspect inventeur pauvre et inventif dans son garage.

    Je ne vais pas dévoiler ici le récit, ce serait stupide autant aller le voir au cinema, mais j'aime bien dedans les passages qui montrent comment Jobs, ce hippie tout-court, s'est servi de ses idées et aussi des marginaux, fous, et parias, pour monter sa boîte: Il n'a donc pas suivi une mode quelconque, il a fait la mode et c'est en soi très différent !!

     

     

     

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    "I lost nothing. They robbed me..."

     

    The biopic of Darth Vader of the computing: the movie is almost completely dedicated to the hero of the Silicon Valley, and even if it lacks climax, it s' demonstrated well this multitude of stupid enemies that in had to fight the real head of Apple (and also in a way the inventor of the PC with whom we draft these texts today and criticize...) Of course what is makes tasteless the sequence of events it is that this one is more shown as well as an irascible boss and in the long teeth, and less under his aspect a poor and creative inventor in his garage.


    I ain't going to reveal here the narrative, it would be stupid so much to go to see him it in the theatres, but I like inside the passages which show how Jobs, this quite-short lonesome hobo, used his ideas and also eccentrics, madmen, and pariah, to take up his entreprise: he did not thus follow any fashion, he also MADE UP the fashion and it is quite very different in itself. So, maybe not so cute... But simply a genius.



     

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