Chroniques de la haine ordinaire - Pierre Desproges/ ma critique
SCANDALEUX
Encore un artiste qui n'aurait pas été produit de nos jours à cause du politiquement correct et, gageons-le; des foudres de ces lavandières non-urbaines. Que fait la police ?
Moi-même je sais de quoi je parle je suis souvent qualifié de "rageux", terme favori de ces mongoliens sans nerf pour décrire mes quelconques méfaits voire tout ce qui les dépasse. Comme si cela était le signe d'un individu dénué de sang-froid à la diatribe sans fondement. (Et pourtant que non, comme disait Galilée.)
Cela est donc absurde car j'ai aussi connu de ces maîtresses-femmes à la bonté cachée en tout cas aussi ferme que celle de leurs compagnons - en général des premiers de la classe puceaux toujours soucieux de la probité de leur branlette hebdomadaire. Oui Mesdames. Et certains travaillaient à facebook en tant que modérateur, c'est dire leur branchitude non-savonnée.
Donc Desproges ne se réservait-il que pour ces potaches attardés ? N'était-il au fond qu'un de ces clowns sans coeur qui ne sont le plus souvent que des salopards égoïstes au fan-club d'amibes stupides et rescapées d'une quelconque marée noire récente mais par contre aux doux likes de bâtards à l'encéphalite gênante et incongrue ?
Peut-être mais Desproges avait quant à lui un Q.I. qui sûrement dépasse celui de votre prof de lettres, et lui au moins possédait l'insigne qualité de détester le foot !
D'ailleurs je ne sais même pas pourquoi je raconte tout ça sur ce site dévoué au marketing de masse pour tous ces crétins asservis à cette nourriture qu'on leur fait gober entre chaque pub de Coca-Cola. La subtilité n'a jamais besoin de porteurs d'eau. Et de toute façon comme disait ce célèbre Pilate au bowling entre deux pressions , on s'en tamponne le coquillard, n'est-ce pas ?
Ma note est de 10/10