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Mon Esprit Critique - Page 57

  • L'Homme-Terminal / The Terminal Man (Michael Crichton; 1971)

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    Une des meilleures oeuvres d’anticipation réaliste jamais écrites : L’on découvre que ce qui arrive à cet homme pourrait arriver (presque) à n’importe qui et d’autre part, Crichton, alors étudiant en médecine, prend le parti intelligent et sans à-priori de la narration neutre...  Dés lors il ne commente rien, raconte, et démontre surtout, tout en nous parlant de tous les avis de ces "spécialistes", mêles-tout, beaux esprits - diplomés ou pas - qui se trompent tous lourdement - et de la scène de l'opération aux discussions des internes et infirmières à la machine à café, le ton sonne très crédible, il est évident que la fin est donc à ne pas dévoiler, malgré tout ce que pourront de toute façon dire ces ennemis acharnés,  ou parangons inversés de la littérature  S/F qui aiment à faire passer ces vessies pour des lanternes, avec sans doute un problème d'estime propre comme tous ces grossiers lourdeaux neurasthéniques - et d'ailleurs toujours à tenter de réduire son importance fondamentale, du moins pour quelques unes de ses oeuvres (et bien byzarrement, justement au contraire de tous ces romans d'autofiction à l'eau de rose qu'on nous impose en masse dans toutes ces émissions de TV-radio) ! Et puis la question soulevée par l'intrigue résonnera pour tous ceux qui s'intéressent à la vie moderne: en effet, y-a-t-il réellement une autre solution pour l'humain que le couple ?

      Cependant il y en a qui osent s'approcher de la vérité, donc je continue: Achevé au début de sa carrière dans les 70’s, on constate également dans L’Homme Terminal que la plupart des références scientifiques peuvent être exactes sinon plausibles surtout du fait des énormes progrés, entre autre, de la nanotechnologie mais aussi de la science. La chirurgie du cerveau est en constante évolution, ses outils de plus en plus invisibles, et même si l'on pense souvent à l'oeuvre de Mary Shelley "Frankenstein" dés que l'on évoque les possibilités de l'après-vie, ou surtout celle d'améliorer l'intelligence humaine, on ne peut joindre "L'homme-terminal" à ces monuments de mièvrerie déja vues partout autre part.  Et puis l’histoire offre également un point de vue crucial sur l’importance des lobbys médicaux ou non, mais essentiellement de l’importance de faire vivre la démocratie [les faits de propagande et les exemples semblables ne manquent pas et même pour les grands pays, et notamment concernant l’ex-RDA. Et ne parlons pas des "tueurs" manipulés...]

             En effet, jusqu’à quel point est-on libre de penser par nous-même, de quel courage disposons-nous globalement; est-ce que nos pires ennemis ne sont-ils pas que nous-mêmes, en définitive  ?  Jusqu'à quel point sommes-nous manipulés ?

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    Evidemment, c’est là mon humble position, ce bouquin m’a été prêté par un ami, toutefois je dois bien vaouer que je n’ y ai pas retrouvé les reproches commerciaux qu’on prête généralement aux best-sellers de cet auteur. Enfin beaucoup d’expériences à cobayes (dont le fameux projet MK UKTRA, encore grandement inexpliqué à ce jour) peuvent être rapprochés de l’intrigue. Très actuel, pas du tout cynique, et surtout subversif. Bonne lecture.

     

     

     

    [A voir: The Terminal Man, de Mike Hodges. 1974.]

  • POURQUOI "THE SIX MILLION DOLLAR MAN" EST L'UNE DES MEILLEURES SERIES U.S. JAMAIS CONCUES

    Crevons l'abcès, brisons la glace ! : Pourquoi cette série débutée en 1974 est-elle en fait meilleure que les autres ? Parcequ'elle n'était pas assez polie, le tout sonne effectivement  décalée, ou en effet, parfois cheesy comme on dit en argot d'outre-atlantique  - sauf que Steve ne triche pas quant-à-lui !.. 

    Donc moche parfois, pas bobo pour un sou mais réaliste, et douée de ce don d'improvisation et d'humanité que ne pourront par ailleurs jamais posséder les "Breaking Bad"," The Wire", et encore moins ce soap déguisé et trou à crétins prétentieux-nés  que sont les "Desperate Housewifes". Culte. 

     

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     Oui, Steve Austin est kitsch, mais pas vulgaire et beauf. Steve n'est pas Charlie Sheen, ni un intello fumeux aux lunettes sévèrement embuées prétendant que "Skins" est le chef d'oeuvre du siècle ! Et Steve n'est pas non plus un mafioso primaire à la petite semaine ni un drogué malsain comme dans "Breaking Bad".  Et Steve ne prétend pas parler de la réalité. Mais pour nous qui savons qu'il a été victime d'un terrible accident en essayant le nouvel X15, c'est normal. D'autre part le générique l'annonce: "On" peut le reconstruire et non on va le guérir ou on va le manipuler comme de ces diaboliques êtres étranges un peu sortis effectivement de Desperate Housewives.  A l'époque les séries se développaient au maximum au bout d'une année, et non en un mois ou deux: il est logique donc que l'investissement des acteurs comme celui des scénaristes s'y révèlent forcément. Stve Austin ne dira donc jamais que les séries d'aujourd'hui (issues d'ailleurs des mêmes studios et boites de productions américaines) sont de qualité et bien meilleures; parceque c'est simplement faux!!   

     Enfin les effets ont l'air de latex faits-à-la-maison et pas en digital animation, sans compter qu'on sait maintenant que la réalité a pratiquement dépassé la fiction...Steve Austin ne joue pas à l'homme, Steve ne se prend pas au sérieux (d'ailleurs observez bien: même fiancé avec Super Jaimie, il passe la plupart de son temps à échafauder des plans et plein de trucs intelligents - comme aller chercher des choses dans le désert, ou bien réparer son bras abîmé - avec Oscar Goldman), Steve austin ne travaillera jamais de sa vie dans un cabinet de lobbying pour vous vendre des cigarettes Lucky Tykes, meilleures que ces autres plus connues. Et puis Steve Austin ne dit jamais "Adieu", de façon grave, à Oscar, car de toute façon il sait bien qu'il sera toujours là dans le prochain épisode: de plus ce qui est cool c'est qu'on ne peut pas totalement jalouser Steve, comme à la base il a subi des chocs ainsi que des traumatismes importants alors que moins nous, on aimerait bien être à sa place, mais pas tout le temps en fait. Steve Austin est culte, Steve est fun. Et Steve fait ses enquêtes et missions seul, il arrive pas chez les gens avec une grappe de trous du culs en déclamant des bêtises grosses comme une maison.6MDM 001.jpg

     

    Ne ratez pas "ETRANGER A BROKEN FORK " ou Steve doit se heurter à l'hostilité de toute une ville peuplée d'abrutis et de ploucs des lointaines contrées des USA: Tout à fait glaçant, on se croirait dans une oeuvre d'At et d'essai expérimentale SF à la "Alphaville" ou dans "The Straw Dogs" ! Et dans "LA VOYEUSE" Steve ne se met jamais minable quant à lui, ni ne ment pour séduire, à la différence de bien d'autres (Nous; par exemple...) et comme cela Oscar n'est pas jaloux. Bien sûr quelques épidodes laissent à désirer dont par exemple "LE ROBOT" et "RECONSTITUTION" mais prenez le si glamour et extraordinaire surtout coté effets spéciaux "LES VISITEURS DE L'ESPACE"...

    Et Steve Austin est bien élevé: Dans "UNE AMITIE" il ne répète pas les propos de son pote astronaute et continuellement ivre d'alcool (William Shatner de Star Trek), tout ça parceque l'homme bionique sait se tenir.  Enfin Steve conduit des grossses conduites intérieures mais Steve fait du sport à coté: Steve n'a pas une tête de b***, Steve est beau, Steve est glamour, Steve ne fait pas ses coups en douce, Steve ne parle pas derrière et par ailleurs ne rit pas jaune à l'abri d'une vitre blindée, en se moquant amèrement de ses compagnons. D'ailleurs Steve ne ricane que rarement, Steve ne passe pas son temps qu'à s'amuser et de toute façon même s'il est fonctionnaire quelque part, il prend des risques, travaille, et va parfois sur la lune; quant-à-lui. 

     

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     Et TSMDM a été produit à une époque ou les personnages de séries n'essayaient pas de ressembler aux gens de la vie de tous les jours: Ils s'en foutent, c'est tout. Observez Steve, et remarquez que jamais il ne mange devant l'objectif ou la caméra, ne se demande si le nokia de son copain Oscar est le dernier sorti ou ne s'inquiète si sa maîtresse va le quitter ainsi que le héros de "Mad Men".

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       "BETTER...STRONGER...FASTER..."

     

    Steve Austin a une dimension tragique, presque irréelle, mais ne sauvera jamais l'Amérique: en cela il est meilleur que bien de nos petits amis de notre quotiden, car on aimerait tous avoir un pote aussi fort et que personne ne sache jamais rien; vu que celui-ci est de toute façon agent secret. D'ailleurs Steve Austin a débuté sa carrière en 1971, c'est une preuve de longévité et pour ma part je ne parierais pas autant sur ces variantes de "Sex & The City" tellement plébiscités aujourd'hui: Steve ne dit pas n'importe quoi, ne se drogue pas, et n'est ni boîteux, ni gros, ni tangent... J'aime Steve Austin.

     

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     LES INFLUENCES 

     

     

     

     

     

    QUI EST BRUCE PETERSON ?..

     

     Il s'agit de lui: 

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     Bruce Peterson est un pilote d'essai (de l'époque ou ils prenaient d'énormes risques) et astronaute; ayant survécu à un terrible accident. Il a en partie inspiré la série de TSMDM; et le concernant il est un personnage de la réalité vraie...

     

     

    The Real Crash behind "The Six Million Dollar Man" - Corrected

    version

     

    ET QUI EST LE CYBORG ?

     

    A l'origine une nouvelle pas excellente et de série B, mais lisible, de Martin Caidin. Une sorte de pulp tarantinesque. Mais le fait que des livres semblables ne s'écrivent plus aujourd'hui en 2011 est d'autant plus valable: remarquez d'ailleurs comment les explications scientifiques du début sont crédibles et cohérentes... Et puis Cyborg est un livre culte qui ne pose pas de questions métaphysiques quant à la présence de l'homme sur Terre, mais qui poses les bases, et en cela on reconnaît l'influence de la pop culture et notamment de l'androide.

     

     

     

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    Cyborg
    Auteur Martin Caidin
    Genre Science-fiction
    Version originale
    Titre original Cyborg
    Éditeur original Arbor House
    Langue originale anglaise
    Pays d'origine États-Unis
    Date de parution originale Avril 1972
    ISBN original 0-87795-025-3
    Version française
    Traducteur Dominique Vernon
    Jacques-Daniel Vernon
    Éditeur Denoël
    Collection Présence du futurno 186
    Date de parution 2ème trimestre 1975
    Nombre de pages 320
    ISBN Néant

    Cyborg est un roman de science-fiction de Martin Caidin publié par les éditions Denoëlen avril 1972 aux États-Unis, où il représente le premier roman de la quadrilogieCyborg, et au 2ème trimestre 1975 en France. Ceci inspira en 1973 pour la télévision américaine L'Homme qui valait trois milliards avec Lee Majors dans le rôle de Steve Austin.

    Sommaire

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    Synopsis[modifier]

    Un pilote-astronaute, miraculeusement rescapé d'un accident catastrophique lors d'un vol, a perdu un œil, un bras et deux jambes, mais est transformé en cyborg grâce au docteur Wells travaillant dans le domaine de la bionique de l'OSI (Government Office of Scientific Information) dirigé par Oscar Goldman.[source: wikipédia.]

     

    (Prof X + M. NO.) [A DK1 production.]

     

     http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-1212907/The-cut-price-6m-man-Scientists-say-recreate--just-150-000.html

  • Le UP & DOWN 3 DU MOIS

    UP: COSMICITY: BINARY LANGUAGE OF LOVE

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     Peut-être pas "la pop la plus prolifique du moment", mais en tout cas de la bonne synth-pop/EBM, renouvelé, sans prétentions, et surtout avec des arrangements de folie: délirante, hors-norme et pas dans les clichés = on adore. 

     

     Et écoutons surtout ce qu'en dit notre amie SUSSI PETERSON:

     

     "Cosmicity ou l'excellence de la synth-pop. De bonnes mélodies, de supers chants et des charmants sons analogues, le tout aspergés tant avec la mélancolie qu'avec joie. En effet, Mark Nicholas, l'homme derrière Cosmicity, sait ce qu'il fait. Après des projets de musique diverses et un diplôme dans la musique et la technologie, le premier album intitulé "Vision" est sorti en 1994. Après cela plusieurs albums ont suivi, tout créé sur les synthétiseurs de Mark, chacun nommé d'après ses idoles; d'ailleurs plus ou moins évidentes comme Chris Lowe (des Garçons d'Animalerie), Vince Clarke (l'Effacement), Martin Gore (Depeche le Mode) et Kylie Minogue. (On est contents de le savoir, c'est chouette.)

    On sait depuis  toujours que les lyrics des albums de Cosmicity sont très personnels. Sur "Vision" et " Moment" visiblement la relation avec la première petite amie de longue date est exploré tandis que sur "Isabella" un nouvel amour est reflété: Binary language of love est écrite pendant le développement, depuis le début jusqu'à la fin, d'une relation de fond, se développant sur le courrier électronique !! 

    Enfin, follement amoureux ou pas, la recette de Cosmicity, d'une façon ou d'une autre, œuvre prodigieusement et le résultat glisse sur la peau comme un ice-cream une chaude journée d'été."

     http://new.music.yahoo.com/cosmicity/albums/binary-language-of-love--8717655

     

     

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    DOWN:                            DEPECHE MODE   SPEAK & SPELL

     

     

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    Nul; J'ai pas aimé. 

     

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