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  • La belle vie - Jay McInerney/ ma critique

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    Résumé: Deux enfants, des amis célèbres, une bonne situation, un loft à Manhattan : Corrine et Russell ont tout pour être heureux. Ce parfait exemple du rêve américain est soudain brisé par l'onde de choc de l'après 11-Septembre. Les espoirs, les convictions, les sentiments, le fric, le toc et le chic, tout est remis en cause - et désormais, tout peut arriver.*NDA: Je ne vous apprends sûrement rien, Jay McInerney est une vache sacrée de la littérature branchouille... Mais après ses bons mots, est-ce que ses bouquins sont si superficiels ?


    MON AVIS


    Pouah oui c'est nul. D'abord, comme tous les gens vulgaires McInerney possède un style maniéré et entre un défilé de mode rance et des ragots anodins de "bonne femme" (précisons aux ignorants que Jay est un homme...) ce bouquin d'une extraordinaire prétention est impossible à lire sinon très difficile. 

    Cynique mais mal-écrit, je n'ai même pas vu là-dedans un soupçon de talent, que du vrai sans même le souffle épique d'un Tom Wolfe, que de la collection Harlequin et pour faire court, je déconseille très fortement à mes amis !


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  • Sally Forth - Wallace Wood/ma critique

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    Enfin une héroine qui ne ressemble pas à ces asperges plates, malades, et anorexiques qui sont aujourd'hui devenues la norme ! Oh je sais: nombre de ces intellos fumeux viendront vous dire qu'il n'y a rien de tel que la beauté intérieure, que la douleur est saine, que nul n'équivaut la tragédie, que rien n'égale la distance, qu'il faut être psychologue, que l'artiste exploite d'abord ses failles, que le travail c'est la "santé", qu'il faut être comme tout le monde, qu'il faut que rien ne dépasse, qu'il faut être "politiquement correct", que l'argent rend malheureux, que les génies sont timbrés, que le désir c'est mal, qu'il faut se méfier du qu'en dira-t-on, etc.. etc... etc.. 


    Que nenni, tout le monde sait que ces gens-là sont toujours les premiers à acheter les torchons people afin de zieuter quelle est la dernière pé***** folledingue à dépenser 50 $ d'eau minérale pour son clébard (et que sais-je encore) ! Et franchement, d'après vous, qu'y-a-t-il de plus ridicule qu'un hipster fier de ses cinquante marques ? Un homme-sandwich d'autrefois, Karl Largerfeld, Cendrillon et la citrouille de son conte, ou alors la mégère de la mode Wintour ?

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    Vous voyez bien que face à Sally les questions sont futiles. Je dirais même qu'elle est tellement belle qu'elle n'existe qu'à peine ! Et là, notre muse s'affiche dans l'armée à travailler avec des bidasses encore plus bêtasses qu'elle et je ne parle même pas des gradés - contrairement à ce que l'on croirait d'abord. Je ne révélerais pas l'intrigue, ce serait trahir non la Grande Muette mais notre amie. Et à mon humble avis bien des gens des 2 sexes sont depuis devenus totalement fous après avoir juste aperçu ses deux formidables poumons...