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Mon Esprit Critique - Page 49

  • L'homo-fashionistus: Pourquoi est-ce une figure incontournable des médias ?

    médias pédés fashion


    Il y avait la peur du musulman, des francs-maçons, la hantise des terroristes et de l'envahisseur U.S., des lobbys juifs internationaux et omniprésents, celle des fonds de pension de Miami, des associations déguisées de malfaiteurs, des trusts occultes, des réseaux organisés et dissimulés, etc., que nenni, car aujourd'hui c'est le pédé fashion qui fait notre vie. Le roi (ou la reine) de l'ombre, chéri(e) de tous et dont seule la forme peut varier, qui règne sur son royaume et qui arrange au rythme des modes et tendances finalement presque toute notre vie. La nouvelle et efficiente police de la pensée. Il est partout et dit, au fond, la plupart du temps la même chose; même si sa forme ainsi que les étiquettes peuvent varier selon la couleur...

                                                                  

    médias fashion

                                        (C. Fourest, un des cerveaux de France Culture...)


    De CNN à NovaPlanet en passant par Lady Gaga, Le Figaro, Libération, Canal + et France 2, chaque média a son homosexuel favori qui distille ses sages conseils le soir venu (et même aux hétérosexuels)  lors d'émissions savantes et astucieusement décorées: bien souvent il fait dans ses chroniques l'apologie du monde de la mode et de ses avatars, et croyez-moi, ses amis là-dedans ne manquent pas. Si en France on tire sur les "winners" il est d'autant plus ardu de le faire sur un homo: qui a jamais vraiment osé ? Pas la foule de toute façon, puisqu'elle est moutonnière une fois tout la crème à polir évaporée et suit bêtement les tendances qu'on lui ordonnent et quelqu'elles soient - en ce qui la concerne.

    Etablissement classé en bourse, on s'arrache désormais le quota homosexuel (bien qu'il soit chauve en général) quelque que soit son prix, son marketing, qu'il soit une folle frisottéé ou une affreuse gouape qui a toujours réponse à tout, ou bien sûr son business ! Il y a en fait pire cependant, ce sont les faux-amis (comme la nympho blondasse à cabriolet et à chihuahua) mais surtout la fashion-victim con comme un coin (fréquent surtout en province) qui aimerait bien dominer le monde; celle-ci fait semblant d'être votre copin mais en fait elle vous hait gravement et aussi désire activement ou passivement votre place puis sera celle qui répétera de façon traître vos diatribes à l'ennemi surtout si vous ne possédez pas d'I-Pod. D'ailleurs par définition, on a le droit d'être fachophobe mais pas homophobe - voir les deux en même temps.

    médias fashion

     

    Ainsi, l'homo peut être dangereux comme l'"air-head" vide de toute culture, surtout s'il est conservateur, sécuritaire, et bassement réac (il y en a bien partout dans les émissions à la radio qui contiennent des imitateurs drôles) ou qu'il est à la base un faux hétérosexuel, un hétérosexuel inventé à l'aide d'un plan quinquennal A ou B par des homos ou alors des femmes ou que sais-je, mais qui n'existe pas réellement en tant que tel ! C'est impossible, au contraire d'un hacker ou d'un geek pédé tellement courageux qui jamais se montre. D'autre part on se moque peut-être de Mahomet mais pas du pédé fashion, sorte de vache (con)sacrée: Il (ou elle) fait rêver.

     

    médias pédés fashion

    (J'existe car je suis branchouille: Le journal.)


    C'est un peu le cas de Don Draper dans Mad Men, il est tellement autoritaire et cliché comme patron dans son univers tranquille des années 50, que tout individu à l'esprit décent ou ayant dépassé depuis longtemps l'âge du sein têté, saura instantanément qu'un tel être ne pourra vivre actuellement dans notre monde: Il s'agit en réalité d'une projection ou d'un fantasme, destinée à la mère au foyer, à la bonne soeur défroquée anciennement féministe, à l'intello frigide, à la tarée junkie de "La-La land", au plouc mytho (mais fan de foot), aux abrutis beaufs haineux (ça existe), à la roturière aigrie, à la gouine dominatrice et psycho-rigide qui ne souffre pas qu'on ne soit pas d'accord avec elle (ça existe aussi), à la dinde en couple, à la vraie truie en rut qui empiète un peu trop sur le passage-piétons, à la morue roide, à l'informaticien tellement malin, au couard consensuel, à moi, ou à l'étudiante frustrée qui autrefois voulait étudier le théâtre; mais sachez toutefois que cet homme pourrait peut-être faire de la télé dans la vraie vie, mais non exister dans la nôtre. (De toute façon pour ces gens-là, de nos jours l'hétéro, le vrai, le pur, est simplement le diable ou bien un pauvre con. Un rien sans appui. Ou un fou, armé ou non. Donnez-lui à lui surtout une doublure, un erstaz...N'est-ce pas ce que nous aprend chaque soir au JT la lisse présentatrice de la télé, impeccable dans son tailleur Kenzo ? ) Et pouf. Bref ceux qui pensent le contraire, à Sodome et Gomorrhe ou non, sont juste dans l'erreur, et par ailleurs, depuis que Eve est Eve et Adam; Adam, le lobby gay n'existe pas non plus.

     

    médias pédés fashion

        Il est loin le modèle familial tel qu'on se l'imaginait auparavant. Car oui, désormais c'est l'homo-fashionistus qui a remplacé l'homme à la cigarette et celui-ci peut servir à consolider tout commerce fragile. Et entre autre pour faire du fric, pas uniquement pour la gay-pride. Dans ce périlleux et vaste marais on en voit parfois de plus communs: Là, il est bien évidemment davantage intelligent que nous et forcément différent, puisqu'il est pédé. Ca change et ça fait un peu exotique. C'est normal. Et puis ça sert pour annoncer des faux événements ou un tas de trucs rebelles bidons, comme par exemple des manifs contre le camembert OGM et organisées dans le XVIème. Ou alors contre le contre-effet du bug de facebook et des piercings - par définition ça concerne évidemment surtout les pierçés les autres on s'en fout. C'est qui d'abord ? Enfin dans la majorité des cas c'est trop cher pour le peuple donc il n'ira pas vérifier c'est évident, il aura trop peur des "contre-effets" et des menaces; le peuple doit avoir peur, ou être inquiété au cas-ou pour X raisons. Raison pour laquelle le pédé ne se refuse rien, se permet tout, met les pieds dans le plat sans peur (surtout là ou il y a des salons ou de l'argent d'ailleurs) et qu'on le voit partout et dans tous les domaines...D'abord on pardonne tout à un pédé: d'ou, bien entendu, l'important lobby gay parisien ou Pink TV. CQFD.

     

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                                                (La radio des bobos drôles ET branchouilles...)


    De toute façon c'est entre autre un peu le cas de Jean Rouzau (Nova), qu'il me plaît à moi d'écouter de temps à autre (mais pas tout le temps en fait, et pas non plus Ariel Wizman): sauf que d'abord, le fait est que celui-ci, comme ses nouveaux-amis, ne sort que principalement que des aphorismes à pubards. Le nouvel homo-fashionistus, loin de la folle d'antan, est peu nocif et pas contrariant ainsi que n'importe quel fashionista, ou fait souvent des tests-bouffe dans des restaurants (qui ont principalement des émirs comme clients...) un peu comme à BFM radio. Youpi. Et les nouveaux films ne sont pas, ne vous en déplaise, la plupart du temps beaucoup plus intéressants que les autres, c'est juste faux. Enfin il y a les autres pédés, plus venimeux ou plus complexes, surtout pas laids, et à la Dexter par exemple...médias pédés fashion Comme Warhol entre autre. Attention cependant ceux-là ont la facheuse habitude de simplement inverser la vérité ou bien de recréer tout un monde, il faut bien convenir que c'est le problème avec ce qui est "contre-nature", on finit ensuite par croire ensuite que ce qui est vrai est faux, ou ce qui est faux est vrai ou l'inverse. C'est simple et plus aisé. Et avouons-le: les bourgeois et leurs maquereaux du XIXème ne pratiquaient certainement pas une morale plus putassière !

    Et quand on prend ses souhaits pour la réalité et aussi quand on possède en même temps un poste à responsabilité quelconque dans une start-up ou à l'intérieur de quelque puissant média, cela peut être utile (ou dommageable, c'est selon) pour tout le monde.

     

    médias pédés fashion

    (Don Draper: Mad Men)

     Pour finir il y a l'homo qui ne l'est pas vraiment (ou personne ne sait) car il est sympa de toute façon, politiquement correct, ou en couple, ainsi qu'avec plein d'amis, sortant le soir, et même avec un chien, et enfin opérant au coeur du système. Avec un métier sérieux et un débit rapide, consultant ou Directeur du Recrutement. Pas n'importe quoi. Et donc tout le monde s'en fout: Il pourra être, par exemple, l'ami éventuel, le copin de la fille à pédés (par exemple, celle qui croit qu'un homme normal peut comme elle regarder 3 heures à la suite de Ugly Betty sans broncher. C'est faux.)

    médias fashion

    Souvent d'ailleurs celle-ci travaillera pour twitter ou une start-up dans le genre, et comme elle est riche et apatride, elle passera son temps avec lui à comploter pour une autre nation. Et aussi à créer avec lui un autre language constitué de cyniques (ainsi qu'insicifs) acronymes qu'elle pense cruels. Surtout celui-ci s'en fout la plupart du temps il ne sait pas de quoi il parle et juge les gens de loin ou à distance. Enfin même s'il n'est pas homosexuel, comme le conjoint homo son proche parent, il aime sûrement la médiocrité sinon les pédés, et est sympa et cool et à protéger. De toute façon le fait qu'il soit ambigu et qu'on ne sache pas vraiment ce qu'il est, en fait évidemment, d'autant plus, un allié de choix dans nos projets de harcèlements impunis en direction d'immenses marchés. Une chose est sûre: C'est le "petit pédé" qui a de l'avenir, bien au contraire, et personne d'autre...

     

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    (Matt Org: Private Practice)

     

     

    **Bientôt : l'Affreux Pourceau de Hollywood qui sait tout et qui a tout compris (Observez comment celui-ci est beau - ou hideux, c'est selon... -) Vous aussi vous aimerez le hair un jour j'en suis sûr.**

     

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  • 23 prostituées - Chester Brown

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    "Les mecs seuls et sans copine sont considérés comme des losers..."


    L'humour n'est pas absent de notre monde: en effet, une fois n'est pas coutume, je me baladais dans le désert le nez au vent là ou personne ne va et aussi sans but de base, afin de convenablement nourrir mon cerveau et mes ambitions (Oui ça m'arrive, mais surtout ou je peux en fait. Et pas si loin c'est cher l'essence de nos jours) et de ce fait j'ai soudain découvert, par hasard, dans uns de ces magasins parisiens plutôt bien achalandés ainsi que pas trop fréquentés un nouvel album, pas encore répertorié là-bas ou ailleurs, ou pas tellement. Et puis j'ai ensuite lu la critique le concernant par Sylvain Quément ici. Je dois confesser que ne serais pas si spirituel et je n'oserais pas un instant dupliquer son admirable texte de manière presque exactement semblable; pour moi il s'agit de visu d'un de cet habituel travail provocateur et piquant destiné à un public réduit, importé des US - à l'esprit provenant surtout de la côte Est, et qui effectue naturellement son petit remoux au-dessus de la mare sur laquelle on le pose. Cependant les cases, si elles sont parfois répétitives tant sur la forme que sur le fond, sont claires à découvrir pour l'oeil néophyte tout en ouvrant la porte à la métaphore, et de plus les commentaires demeurent originaux ils ne disent pas n'importe quoi en substance: En effet c'est le fait que la quasi-globalité des gens sont cons et que la société actuelle (quelque peu malsaine ou aseptisée pour certains aspects, reconnaissons-le) ne permet pas d'absorption facile pour les personnes aux idosyncrasies plus riches, ou différentes de la majorité.

    Notre démocratie est relative.

    Et enfin mis à part le fait que des merveilles comme celles-ci resteront peut-être, somme toute, à jamais inaperçues de l'oeil du reste de la population mondiale il faut néanmoins admettre que l'histoire aborde l'épineux problème du harcèlement de supérieurs (et des 2 sexes) au bureau (tous ayant leur propres manies raffinées et variées, et pratiquant le hard-puzzling. c'est simple: il suffit d'énoncer quelque chose de faux comme si c'était vrai) c'est toujours bon à prendre. Ca ne plaira certes pas aux vrais fâcheux je sais - ceux qui se vantent d'être bobos ou le contraire par excellence, puis, par exemple, efface ensuite vos humbles critiques en un jet, et le jour d'après gaze les ratons-laveurs; et de toute façon c'est tant mieux. ( je sais, il y avait aussi le thème de ces petits cons qui s'y croient à mort et qui se fringuent ensuite en noir mais ça on s'en fout un peu.) J'aimerais beaucoup voir cette oeuvre en rotation lourde dans tous les megastores de la planète; pendant que l'auteur signe et dédicace, avec brio et à tour de bras, au premier passant venu ou à la neuromancienne venue là par hasard - parcequ'il pleut dehors ? - , ou aussi la voir finement proposée au sujet philo du bac, mais hélas on sait tous qu'on ne peut plus rien dire ou pas grand chose, au risque de choquer Mémère et son clébard de compagnie ou bien l'oie de service ! Le Mur est tombé il y a peu, toutefois avouons que ce temps semble cruellement révolu, ou l'on pouvait rêver d'un globe tournant sans ses obligés et pervers censeurs...

    Ce qui amène d'ailleurs ensuite de tels excès pareils à ceux présents contés à l'intérieur du livre, pas toujours connus d'ailleurs du grand public (ou alors uniquement réservés aux prolétaires comme à la TV dans les reportages voyeuristes et racoleurs) et à mon avis on concluera qu'il est superfétatoire d'aller chercher le Hollandais Volant ou la Marie-Galante.

    Dans 23 prostituées, le style est donc glauque par moments, mais comme l'humour n'est pas absent on ne navigue pas en plein cosmos et donc on n'est pas complètement perdus. Enfin le tout faisant somme toute très autobiographique, on a également l'impression de découvrir des cases inclassifiées d'Harvey Peckar, ou encore une ambiance sorte de variante de Scarface.

    Pas si mal, pas désagréable et drôle de temps à autre d'autre part, pas si fourbe et cynique, en tout cas moi j'ai bien aimé.


  • Eloquent - Carousel of Life

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    "How can you look at me at the face ??"


    "Come back to me. Come home >> you're perfect." Ne le nions pas: C'est ce que dit en général in fine la synth-pop quand elle est médiocre ou somme toute peu innovante, un peu monotone du sillon, bref coté indus. Donc le fait est que si c'est ce que, malgré tout, ce que perso vous ne pensez en rien pour votre part, on tourne en rond à un moment sur les pistes du disque, car vous ne pouvez pas tellement y adhérer à 1O1% ou "tripper" même si le niveau son est plutôt bon (et pas produit par Scorpio Music ou uniquement à l'aide de vils expanders nombreux et sophistiqués ou par AutoTune®, un peu dans le style de Bieber.) Donc reconnaissons que le tout est un peu léger à part le cirque et les single-tracks 2. "Carte Blanche" et 3. "Colourful Rumour."

    Si vous voulez, nous dirons la lave sous la banquise troussée comme l'astre du soir par-dessous les nappes synthétiques et les faux-semblants (toutefois en mieux reconstruit depuis l'amélioration de la science robotique et aussi des home-studios de base)le tout au clair de lune. Par exemple. En prime avec Eloquent il est vrai qu'on a parfois des intonations à la Kraftwerk mais confessons dans cette célébration qui, il faut bien le reconnaître, ne suit au maximum que l'AfterTouch de la console, que surtout l'aspect festif ressort en définitive entre les notes ce qui est dommage pour ceux qui espèrent un peu plus que l'expérimental arty et très travaillé à la Sonic Youth ou de la dance seulement dansable (ou plein de nymphos dansent comme des folles dans les boîtes ainsi que sur le dancefloor mais après avoir poireauté 3 H devant l'entrée avant de s'être mariées un samedi pluvieux avec le physio.) Soit, le diable est dans les détails, c'est pour ça que plusieurs petits malins ou petits bidouilleurs minables tentent désespérement de réussir mais rassurez-vous, ce n'est pas pour ça qu'ils sont plus futés que vous ou qu'ils ont du génie. Donc, pour terminer soyons honnêtes: Même un groupe néo-romantique de l'époque des 80's aux membres péroxydés et aux cravates-cuir ponctuelles et bien repassées ferait plus abouti au concept - de toute façon il y a byzarrement présent dans cet album une reprise d'un titre de la classique et lisse (et peu renouvelée) techno-pop des britanniques PSB (C'est le LP Bilingual.) Et sans doute il y aurait beaucoup à clamer sur ce dossier en particulier mais là j'ai pas le temps. Vous non plus d'ailleurs si mes calculs sont bons, et comme moi je suis sûr que vous vous foutez un peu à la base de ces échos et clameurs non-repertoriées de la toile.

    N.B: Comme il s'agit d'une véritable critique objective (et non d'un simple dossier de presse promotionnel marketing-pub/ou ou d'un site au sens faussement critique à tolérance de taliban travaillant à temps complet pour l'ex-deuxième bureau ou d'une soirée privée à pin's/un spectacle humain plus ou moins cool de gunfight dans un cinéma. Et non, je ne parlerais pas de tous ces faux profils smarts marrants ainsi qu'hilarants uniquements faits pour vous vendre des réductions sur des produits fashion) consacrée à Carousel of Life ainsi qu'à ce groupe, comme c'est souvent le cas surtout sur le web; comprenez bien que le fait est que, par conséquent, d'aucuns pourraient ne pas être d'accord sans réellement désirer se poser les bonnes questions. Mais diantre que cela ne nous empêche pas d'écouter de la bonne musique. (Carousel of Life: Les extraits de Reverbnation sont ici. )

    Cochez:

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