Sylvia - Leonard Michaels/ma critique
47 Séconal...
Jeune et en couple avec une quasi-psychopathe, Leonard nous raconte sa vie d'alors. Mais Sylvia, c'est son nom, n'est qu'une petite bourgeoise orgueilleuse se croyant radicale... comme tant d'autres.
Donc evidemment, l'atterrissage sera brutal et impossible à concevoir. Surtout quand tous vos amis sont vous, sinon pires: à commencer par cette Agathe Seaman, une des meilleures copines de Sylvia, une fille à papa qui joue à la rebelle en dépit de ses piètres intentions - tout d'abord se faire mal et ensuite jouer à la bonne samaritaine, comme de juste - et qui soigne son addiction dans des asiles de luxe que lui paye ses parents.